À trop jouer la prudence, on devient un écrivain sans faute ni saveur. Rappelez-vous Victor Hugo : « Ne pas donner prise est une perfection négative. Il est beau d’être attaquable. »
Écrivain & conseiller littéraire
À trop jouer la prudence, on devient un écrivain sans faute ni saveur. Rappelez-vous Victor Hugo : « Ne pas donner prise est une perfection négative. Il est beau d’être attaquable. »