Je voudrais que toutes les phrases se fondent les unes dans les autres, et passe mon temps à biseauter les miennes pour les faire s’emboîter sans utiliser la moindre cheville, qu’on oublie les points qui les séparent, que les transitions demeurent cachées, sinon discrètes, à la manière traditionnelle des menuisiers japonais qui assemblent le bois sans vis ni clou, comme si vous n’écriviez qu’une seule très longue phrase. Enfin, c’est l’idée…